Aaaahhh, les joies de l’indépendance… Travailler de chez soi ou d’une plage ensoleillée, sans autre contrainte que de se connecter à Internet et de recharger son portable ! De nombreux blogs vantent les avantages du nomadisme professionnel et leurs auteurs vous expliquent comment maintenir le lien avec vos clients tout en parcourant le monde. Mais ils oublient un petit détail… Le professionnel indépendant est souvent parent d’enfants en congé 16 semaines par an (encore plus en cette année marquée par le confinement). Que faire donc de ces chères petites têtes blondes lorsqu’ils sont en vacances et que vous ne l’êtes pas ?
Comme nous tous, vous êtes confiné à la maison pour donner une chance aux hôpitaux du pays d’affronter la menace du COVID-19, mais contrairement aux traducteurs qui besognent chaque jour devant leur ordinateur, vous n’avez pas l’habitude de travailler seul chez vous…
Pas de panique ! Pour vous aider à affronter ces moments difficiles, voire à tirer parti de la crise, je me propose de vous livrer quelques astuces de pro.
Il y a une dizaine de jours s'est déroulée la 56e convention de l'American Translators Association, un évènement qui réunit chaque année dans une grande ville des États-Unis des milliers de traducteurs et d'interprètes venus du monde entier se rencontrer et partager des idées. Malgré mon ardent désir d'y participer, j'ai encore manqué ce grand rendez-vous et dû me contenter de l'alléchante vidéo résumant en quelques minutes l'essentiel de la rencontre. « Mais à quoi peut bien servir un tel évènement ? » me direz-vous. C'est loin, ça coûte cher et on n’y croise aucun client : pourquoi diantre faudrait-il se donner la peine de « réseauter » avec ses concurrents ? Et bien, pour de multiples et cruciales raisons que je vous propose de découvrir dans ce billet...
En ce début de festif mois de décembre, je vous propose une liste d'idées de cadeaux à offrir aux traducteurs de votre entourage (ou à vous même). Pas des cadeaux sérieux comme des livres pour bien gérér une entreprise de traduction, des formations pratiques et des applications utiles que j'ai déjà évoqués dans d'autres billets, mais des trucs pour prendre soin d'eux et des babioles en tout genre pour décorer leur bureau et afficher leur fierté d'appartenir à cette communauté d'amoureux de la langue et d'obsédés de l'adaptation culturelle.
Les traducteurs sont des individus intelligents, d'avides lecteurs, d'insatiables curieux, des chercheurs hors pair et des linguistes troisième dan, mais lorsqu'ils font le choix d'exercer leur métier en tant qu'indépendants il leur faut acquérir rapidement de nouvelles compétences pour créer et développer l'entreprise qui leur permettra de vivre de leurs multiples talents. Pour accélérer cet apprentissage et vous éviter de vous perdre sur Internet en quête d'une réponse à vos interrogations sur les subtilités de la stratégie de niche et de l'abattement forfaitaire, je vous propose ci-dessous une petite trousse à outils de l'entrepreneur, véritable couteau suisse du traducteur indépendant :
C'est passé vite non ?
Je ne sais pas si cela relève d'une perception individuelle de l'espace spatio-temporel, mais je trouve en ce 22 décembre (lendemain de fin du monde) que l'année 2012 a duré une fraction de seconde. J'ai fait beaucoup de choses : déménagé, écrit, traduit, repris des études (une fois de plus !), voyagé, échangé, rencontré de nouveaux clients et d'estimés collègues... Bref, l'année a été bien remplie, mais la liste des choses à faire reste longue. Comme on est en période de listes, je me suis dit que je pourrais demander au père Noël un coup de pouce pour rayer quelques-uns de mes To Dos...
Les vacances scolaires s'achèvent et avec elles prend fin la série de l'été du traducteur. Pour clore cette série de billets proposant diverses façons de tirer parti de périodes creuses pour améliorer la productivité de votre entreprise de traduction, je vous propose d'aborder un sujet capital : prendre soin de vous pour prendre soin de votre activité. C'est un aspect souvent négligé de la gestion d'entreprise et pourtant essentiel pour en assurer la survie et le développement. Alors, n'hésitez plus, prenez des vacances ! Après tout, la période estivale est pour beaucoup une période de congé, alors pourquoi ne pas en profiter pour rappeler leur importance et vous mettre une fois pour toutes sur votre liste de priorités ?
Après l'informatique et la comptabilité, voici la suite d'une série de billets visant à vous inciter à profiter de l'été (ou de tout autre période creuse) pour prendre les bonnes résolutions et mettre en oeuvre les pratiques qui vous permettront de repartir du bon pied dès la reprise de votre niveau normal d'activité.
Maintenant que vous maîtrisez la technologie et les règles de base d'une bonne gestion comptable, je vous propose d'approfondir votre connaissance de votre (vos) langue(s) source(s).
La traduction est une discipline intellectuelle exigeant de faire appel à de vastes connaissances et à une grande capacité de concentration. Cependant à trop rester enfermés dans nos bureaux (mon mari appelle le mien ma "caverne"), nous dilapidons notre bien le plus précieux, notre santé. Carencés en vitamine D, le dos vouté et les yeux rougis, nous oublions que toute notre entreprise repose sur notre petite personne.
Arrêtons de culpabiliser ! Il est temps de prendre (enfin) soin de nous afin d'assurer la croissance de notre activité.
Lorsque j'ai commencé à envisager une reconversion professionnelle dans la traduction, j'ai cherché des sources d'information pour en savoir plus sur les réalités du métier. Au fil des mois et des années, j'ai ainsi eu l'occasion de lire des livres très utiles que je souhaite aujourd'hui vous présenter. Comme je lis beaucoup en anglais et que nos amis anglo-saxons ont publié plus d'ouvrages que nous sur le sujet, la plupart des titres présentés sont rédigés dans la langue de Shakespeare, mais leurs conseils s'appliquent en général à tous.